
A chacun le sien, de nuage ; ce que j’entends par là c’est quand quelque chose vient obscurcir votre horizon du moment. La mauvaise humeur d’un proche qui vous parasite, une injustice, la résistance à ce que vous mettez en place, la peur d’échouer, un rendez-vous raté… Moi ça me colle l’impression d’avoir les deux pieds englués dans le béton et l’impossibilité de détourner le regard de cet imprévu si soudain qu’il me paralyse. Sauf que si je ferme les yeux (pour de vrai) et reviens à ce qui est important pour moi, j’arrive à me recentrer sur mes sensations, mes envies, mon « moi » et au bout d’un moment pffffiout le nuage s’en va. Ca me laisse un peu désemparée, plus dans le béton mais dans un vide étrange que j’apprivoise et soudain la petite étincelle de l’optimisme resurgit ! Essayez, vous verrez que ces nuages ne durent que le temps que vous leur accordez de l’importance, c’est-à-dire tant que vous le regard rivé sur eux… fermez les yeux, recentrez-vous sur qui vous êtes et ce dont vous avez envie. Alors ?
juillet 31, 2008
Alors ça marche. D’autres conseils please!!!
juillet 31, 2008
j’en ai plein d’autres en préparation… ils arrivent courant août !
août 2, 2008
Oui tu expliques très bien la marche à suivre et j’ai presque envie de voir surgir un contretemps pour la tester ! gros baisers…
août 3, 2008
quelle chouette surprise de te lire, tu sais quoi christie tu as aussi la faculté de les faire venir les nuages… tout est une question d’état d’esprit;-)) je t’embrasse.
août 7, 2008
Je me suis recentrée ainsi durant un conflit conjugual. Je n’ai pas fermé les yeux pour ne pas sembler absente. C’est dur sous le coup des émotions, mais salutaire ensuite! Merci!
août 7, 2008
ça me réjouit de te lire kiélut ! bravo et c’est vrai que yeux ouverts ou fermés, à chacun son mode de concentration favori ;-))