Ce qu’il y a de merveilleux dans l’écriture c’est tout ce qu’elle permet. Une fois dépassée l’appréhension du « je sais pas quoi écrire » ou du « je ne sais pas écrire », ceux qui la re-découvrent (oui car tout le monde a expérimenté l’écriture ne serait-ce qu’en l’apprenant au cours préparatoire) et s’approprient la leur, en font leur alliée.
Ce qu’il y a de merveilleux avec mes clients c’est tout ce qu’ils me permettent de re-découvrir avec l’écriture. Comment ils la vivent, quelles sont les relations qu’ils entretiennent avec elle (ça va de passionné, à tourmenté, en passant par viscéral, douloureuse, nécessaire, poétique, illuminée, vibrante…), comment ils l’envisagent, c’est une porte ouverte à l’infini des possibles puisque chaque écriture est unique.
Au fur et à mesure que le temps passe une conviction s’ancre de plus en plus profondément : si vous avez le virus de l’écriture il ne vous lâche pas, vous aurez beau user de divers subterfuges pour faire comme si elle n’était pas importante, ça vous colle à la peau. Certains théorisent longuement sur l’origine, le but, les détours qu’elle emprunte, sa finalité… On peut aussi l’envisager comme un outil qui permet de faire connaissance avec le monde et surtout avec son monde intérieur, car elle permet de rêver, construire, réfléchir, s’exprimer, rassembler ou diviser, élaborer, s’émerveiller…
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