En relisant, avant livraison, un article sur la psychomotricité des bébés, j’écris aux parents « qu’il ne sert à rien de forcer un petit pour un apprentissage ; ça ne peut qu’engendrer un refus, voir un blocage ». Je me suis alors fait la réflexion qu’en communication c’est identique : il ne faut pas forçer (ou se forçer). Laissons à l’autre le choix d’accepter ou non de communiquer avec nous. Imaginez le nombre de relations humaines biaisées par les « il faut » ou « je dois » lui répondre parce que « c’est ma mère, mon mari, ma copine… ! »
L’harmonie d’un échange et sa fluidité sont largement conditionné par ce paramètre : retrouver la liberté de choisir quand, où et dans quelles conditions, vous avez envie de parler.
Et pour vous ça se passe comment la communication ? Elle est plutôt choisie, subie, un peu des deux ?
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